Le vaccin COVID-19 de Pfizer contient des fragments d’ARNm appelés «ARNm tronqués». Il s’agit d’un problème grave en plus des événements de sécurité potentiellement mortels du vaccin. Étonnamment, Pfizer a soumis des rapports d’analyse d’ARNm falsifiés à plusieurs autorités sanitaires.
Résumé des faits saillants
1-Le vaccin COVID-19 de Pfizer contient de l’ARNm tronqué, que l’EMA a signalé comme raison de son « objection majeure », indiquant une exclusion de leur approbation.
2-Pfizer n’a pas étudié les effets néfastes de l’ARNm tronqué dans ses vaccins.
3-Pfizer a soumis des chiffres de transfert Western à la Food and Drug Administration (FDA) et à l’EMA qui ont été générés numériquement, et non à partir d’expériences réelles.
4-Il y a eu un manque alarmant de mesures prises par les autorités sanitaires sur cette question.
5-L’ARNm tronqué contribue potentiellement à de multiples lésions liées au vaccin, notamment des caillots sanguins fibreux induits par des protéines de pointe mal repliées, des troubles auto-immuns et le cancer.
6-Ces problèmes avec le vaccin Pfizer auraient pu entraîner des variations drastiques de la qualité des produits d’un lot à l’autre. Cela pourrait expliquer la différence dans les événements indésirables subis par les vaccinés.
7-La cause profonde d’une telle conduite irresponsable de la part des autorités pharmaceutiques et sanitaires est un manque d’éthique.